Découvrez le Lancashire Heeler
Le Lancashire Heeler est un chien anglais. L'histoire veut qu'il serait le croisement de Corgis et de Manchester terrier.
élevé depuis longtemps dans sa région d'origine, il s'agit d'un petit chien énergique, docile et intelligent. Il brille tant sur les terrains de sport qu'au troupeau, et saura débarrasser votre jardin des petits nuisibles : il a donc toutes les qualités !
Petit (taille idéale au garrot de 25cm pour les femelles, 30cm pour les mâles), longiligne bien que robuste il est bien dessiné.
Le Lancashire Heeler se décline en deux robes : la première est noir et feu, la deuxième marron et feu.
Petit chien qui mérite à être connu, il a débuté sa conquête du monde par le Benelux, les pays du nord de l'Europe et l'Amérique. Reconnu provisoirement par la FCI depuis mai 2016, nous avons désormais le plaisir de le voir fouler les rings d'exposition.
D'une bonne santé, sa longévité peut aller jusqu'à 14 ans. D'après les données actuelles, les éleveurs veillent néanmoins à certaines tares oculaires (luxation de la lentille, AOC, persistance de la membrane pupillaire, cataracte juvénile), à la patella, et bien entendu à la dysplasie de hanche.
élevé depuis longtemps dans sa région d'origine, il s'agit d'un petit chien énergique, docile et intelligent. Il brille tant sur les terrains de sport qu'au troupeau, et saura débarrasser votre jardin des petits nuisibles : il a donc toutes les qualités !
Petit (taille idéale au garrot de 25cm pour les femelles, 30cm pour les mâles), longiligne bien que robuste il est bien dessiné.
Le Lancashire Heeler se décline en deux robes : la première est noir et feu, la deuxième marron et feu.
Petit chien qui mérite à être connu, il a débuté sa conquête du monde par le Benelux, les pays du nord de l'Europe et l'Amérique. Reconnu provisoirement par la FCI depuis mai 2016, nous avons désormais le plaisir de le voir fouler les rings d'exposition.
D'une bonne santé, sa longévité peut aller jusqu'à 14 ans. D'après les données actuelles, les éleveurs veillent néanmoins à certaines tares oculaires (luxation de la lentille, AOC, persistance de la membrane pupillaire, cataracte juvénile), à la patella, et bien entendu à la dysplasie de hanche.